| BALADI – Al-Quds 10 –
  Juillet 2014    Al-Quds au cœur de la Palestine et de
  la nation : Soutien à la résistance maqdisie palestinienne   La révolte des jeunes Maqdisis, suite
  à l’enlèvement et l’exécution de sang-froid de l’adolescent Mohammad Abu Khdayr (15 ou 16 ans) risque de s’étendre et d’embraser,
  non seulement tous les quartiers encore arabes de la ville occupée d’al-Quds, mais également les villes et bourgs demeurés arabes
  dans les territoires palestiniens occupés en 1948. A partir du quartier de She’fat, auquel appartient le martyr Abu Khdayr, la révolte s’est étendue vers les autres
  quartiers, malgré la féroce répression de l’armée et de la police de
  l’occupation. Des centaines de jeunes arrêtés et des centaines de blessés par
  toutes sortes de balles n’ont pas mis fin à la révolte, qui se déclenche tous
  les soirs après la rupture du jeûne dans plusieurs quartiers : She’fat, at-Tour, Selwan, la vieille ville, ‘Issawiya,
  Sawana, ‘Anata, Beit Hanina, ‘Izariya… Si le martyre du jeune Abu Khdayr a
  déclenché la révolte des jeunes Maqdisis, il
  faudrait l’expliquer par des dizaines d’années de pratiques colonialistes
  dans la ville d’al-Quds : terreur exercée par
  les colons, confiscation ou destruction des maisons, arrestations,
  expulsions, colonisation accrue, dépeçage non seulement de la ville mais des
  quartiers et destructions de la vie sociale et familiale palestinienne,
  judaïsation de l’enseignement dans les écoles maqdisies.
  Pendant toutes ces dernières années, les enfants maqdisis
  furent la cible de choix de la terreur de l’entité coloniale : arrêtés
  et brutalisés lorsqu’ils ne sont pas tués, ils sont emprisonnés dans des
  conditions épouvantables et torturés, avant d’être relâchés pour être placés
  sous « résidence surveillée ». C’est contre leur humiliation
  quotidienne et l’humiliation de leurs parents et de leur peuple que les
  jeunes se sont emparés des cocktails molotov et des
  pierres, ainsi que des fusées d’artifice, pour les lancer contre les soldats
  et affirmer qu’ils veulent « libérer la Palestine ». Les scènes nocturnes de la révolte ont suscité la peur, non
  seulement des sionistes, mais également d’une classe politique palestinienne
  qui craint pour ses privilèges et son statut accordés par les accords d’Oslo.
  Cette classe politique, secondée par les intellectuels à sa solde, est déjà
  en mouvement pour stopper la révolte des jeunes, sous les divers
  prétextes : « le moment n’est pas mûr », « nous porterons
  plainte devant les Nations-Unies », « il faut rester
  civilisé » quand elle n’accuse pas tout simplement les jeunes maqdisis d’être des « voyous » pour n’avoir pas
  attendu ses directives.   I - Al-Quds occupée : asphyxie et
  purification ethnico-religieuse   Le quartier Rabat al-Kurd (Hawsh Shihabi) dans la vieille
  ville d’al-Quds, est menacé par la judaïsation. Ce
  quartier se situe à proximité de la mosquée al-Aqsa.
  Les colons extrémistes tentent de s’y infiltrer, soit en creusant des tunnels
  qui passent sous le quartier soit en y établissant des points de
  colonisation. L’un des habitants maqdisis du
  quartier, Khodr Shihabi
  explique : le quartier connu par le nom de Hayy
  Shihabi est l’un des sept « ribat »
  construits tout au long des siècles passés, il est même le troisième, afin de
  servir les fidèles qui passent par la ville d’al-Quds.
  Il a affirmé que les sionistes essaient de s’en emparer à cause de sa
  proximité du dôme du Rocher et parce qu’il comprend une place appelée
  « place Samawiya » où se trouve une
  extension du mur al-Bouraq, que les sionistes
  considèrent comme faisant partie de leur prétendu temple. La famille s’est
  adressée au tribunal central d’al-Quds et a arrêté
  la fin des travaux « de rénovation » menés par la municipalité de
  l’occupation, car le site appartient à la famille.  L’occupant déclare qu’il lui faut des mois pour réparer les
  dégâts occasionnés par les jeunes à la ligne du tram de l’occupation, à She’fat et Beit Hanina, lors de leur révolte. Ce tram non seulement
  divise les localités palestiniennes puisqu’il passe en plein milieu, mais il
  est spécialement conçu pour relier les colonies entre elles.  L’occupant a installé un radar militaire au poste militaire
  aérien de Qalandia, au nord d’al-Quds, pour protéger la colonie Modi’in
  contre la résistance. De nouvelles unités de logement sont prévues dans les colonies Pesgat Zeev et Jabal Abu Ghnaym (Har Homa). Les colons agressent les Maqdisis :
  des dizaines de Maqdisis ont été agressés et
  insultés dans la rue Yafa, dans la partie
  occidentale d’al-Quds. Les colons ont essayé de
  kidnapper des jeunes à Beit Hanina.
  Un chauffeur de taxi maqdisi a été violemment
  tabassé par les colons à Selwan. Le jeune Zayn Sayouri (18 ans) de Ras
  al-Amud a été violemment attaqué alors qu’il
  entrait dans un supermarché.  L’occupant ordonne le 24 juin  la fermeture d’une autre
  antenne de « l’institution d’al-Quds pour le
  développement » située rue Salaheddine dans la
  ville occupée d’al-Quds. L’avocat Khaled Zabarqa, directeur de l’institution a déclaré que
  l’occupant veut interdire tout soutien social à la population maqdisie et
  briser sa résilience.  L’occupant poursuit son projet de construire le parc colonial
  sur les pentes de Jabal al-Masharef,
  malgré les protestations légales des habitants d’al-Tour et de Issawiya. La construction de
  ce parc vise à empêcher toute extension démographique de ces deux quartiers
  qui sont déjà surpeuplés. C’est ce qu’a d’ailleurs affirmé le porte-parole
  d’un parti sioniste de gauche (Meretez). L’occupant a renouvelé l’interdition
  d’entrer dans la ville d’al-Quds, au sheikh Raed Salah, pendant 6
  mois, le 26 juin. Pour sa part, Sheikh Raed Salah a
  déclaré que cette condamnation se situe dans le cadre d’une campagne visant à
  interdire le mouvement islamique, ajoutant qu’à présent, il lui est interdit
  d’entrer dans la mosquée al-Aqsa, dans la ville
  d’al-Quds, en Cisjordanie et interdit de voyager.   II – Al-Quds occupée : répression   Exécution et immolation par le feu du jeune Mohammad Abu Khdayr par des colons établis dans al-Quds
  le 2 juillet. Des affrontements entre les forces armées de l’occupation et
  les jeunes maqdisis dans plusieurs quartiers se
  soldent par l’arrestation de 200 jeunes environ. Les services médicaux de la
  ville ont déclaré que 207 citoyens ont été blessés par la violence de
  l’occupation. Le cousin du martyr Mohammad Abu Khdayr,
  Tareq, a été violemment battu par les forces armées
  de l’occupation, avant de l’arrêter. Ayant un passeport américain, le
  consulat a réclamé sa libération. Mais Tareq a été
  placé en détention à domicile, pour 15 jours. Aucune enquête n’a été ouverte
  pour découvrir les policiers qui l’ont roué de coups. Mais la soi-disant
  enquête de l’occupant pour l’exécution de Mohammad Abu Khdayr
  a ciblé les colons qui en seraient responsables. Trois d’entre eux auraient
  été relâchés, les autres traduits devant des psychiatres, en vue de les
  relâcher.  Les colons on essayé d’enlever des jeunes dans le quartier de
  Sheikh Jarrah.  Les tribunaux de l’occupation ont renouvelé la détention de 14 Maqdisis arrêtés le 3 juillet. Le 8 juillet, l’occupant arrête 4 jeunes près des murailles de Bab Sahira, dans la vieille
  ville. 3 autres ont été arrêtés à Beit Safafa au sud d’al-Quds. L’occupant annonce avoir arrêté la nuit du mardi au mercredi 8-9
  juillet 42 jeunes Maqdisis. Dimanche 13 juillet, les policiers de l’occupation expulsent les
  fidèles de la mosquée al-Aqsa. Ils les ont agressés
  et ont tiré des balles en leur direction pour les faire sortir. Les forces
  sionistes préparent ainsi l’entrée massive de colons dans la mosquée. Dès
  l’aube, la mosquée est encerclée par les barrages placés même dans les
  ruelles de la vieille ville qui y mènent.    III - Al-Quds occupée : les lieux
  saints    Au cours de la première semaine du mois de Ramadan, les
  autorités de l’occupation ont fermé à deux reprises les accès à la mosquée
  al-Aqsa, et ont autorisé des dizaines de colons à
  la profaner. Elles ont également interdit aux fidèles d’y prier le premier
  vendredi du mois, sauf à quelques centaines de fidèles. Les autres, plusieurs
  centaines, n’ont eu accomplir la prière du vendredi que dans les rues
  adjacentes à la mosquée. Les forces armées de l’occupation ont mené une
  incursion dans la mosquée immédiatement après la fin de la prière du vendredi
  et y ont lancé des bombes sonores, pendant que ses snipers montaient sur les
  toits pour « surveiller » les fidèles. Le deuxième vendredi du mois de Ramadan, les sionistes ont
  interdit aux fidèles de prier dans la mosquée al-Aqsa.
  Seulement une dizaine de milliers de fidèles ont pu entrer, alors que
  normalement, c’est plusieurs centaines de milliers de fidèles qui se dirigent
  vers la mosquée les jours de vendredi du mois de Ramadan.  Les mesures restrictives de l’occupation empêchent les fidèles
  d’accéder à la mosquée et d’accomplir les prières des Tarawih.
  Le premier vendredi du mois de Ramadan cependant, 40 cars ont réussi à amener
  les Palestiniens de 48 pour y accomplir ces prières, portant le nombre des
  fidèles à 20.000. Plusieurs associations s’activent pendant le mois de Ramadan
  pour présenter le repas d’al-Iftar à la population
  maqdisie dans la mosquée al-Aqsa.  L’occupant interdit aux étudiantes d’entrer à la mosquée pour
  suivre les cours organisés par « Masateb al-‘Ilm ». Elles ont riposté et une jeune (22 ans)
  de Sheikh Jarrah a été arrêtée, au moment où
  l’occupant autorisait des dizaines de colons à y entrer et à la profaner. L’institution « ‘Amarat al-Aqsa » a publié les derniers chiffres relatifs aux
  colons ayant profané la mosquée au mois de juin : 2134 colons.
  L’augmentation du nombre des colons va de pair avec la diminution du nombre
  des fidèles musulmans pouvant entrer dans la mosquée. L’institution d’al-Aqsa considère que l’occupant cherche à consacrer une
  présence physique permanente des colons à l’intérieur de la mosquée, en vue
  d’imposer son partage dans le temps et l’espace, avant de la détruire pour
  construire « le temple ».   IV - Al-Quds occupée : résistance
  palestinienne   L’invasion militaire de la région d’al-Khalil et d’autres villes
  et villages palestiniens de la Cisjordanie et la férocité de l’occupation
  contre la population maqdisie ont incité la résistance militaire basée à Gaza
  à envoyer des « messages » à l’occupant pour qu’il mette fin à la
  vague de répression et de destruction qu’il mène. Mais ce dernier avait pris
  prétexte de la disparition des trois colons pour lancer son offensive pour
  détruire la résistance. Il a lancé son agression contre Gaza, qui résiste et
  riposte : des centaines de fusées lancées par la résistance ont touché
  les abords d’al-Quds, les colonies situées entre
  Tel Aviv et al-Quds et
  al-Khalil, sans mentionner toutes les fusées lancées sur les colonies situées
  près de la bande de Gaza. L’occupant a été surpris par la force de frappe de
  la résistance, et poursuit ses attaques : plusieurs dizaines de martyrs
  sont tombés, la plupart étant des civils, des familles entières sont
  décimées, montrant une fois de plus que l’occupant tue le maximum de gens
  parce qu’il n’arrive pas à toucher les résistants. Pour le deuxième vendredi du mois de Ramadan, les Maqdisis qui ont été interdits de prier dans la mosquée
  al-Aqsa se sont révoltés et ont tenu tête aux
  policiers de l’occupation. Des affrontements ont eu lieu entre les jeunes et
  les occupants, dans plusieurs quartiers de la ville, et des témoins ont
  assuré que les policiers prenaient la fuite pour éviter la colère des Maqdisis. Tout au long de l’agression sioniste contre les Palestiniens de
  la bande de Gaza, les Maqdisis n’ont cessé leur
  mouvement de révolte : les jeunes ont cassé les caméras de surveillance
  dans des quartiers de la vieille ville (le chemin de Bab
  Hatta), ils ont affronté le poste militaire situé à Qalandia,
  séparant al-Quds de la ville de Ramallah, ils ont
  affronté l’occupant à Selwan et al-Issawiya, et à Abus Dis, le jeune Adam Urayqat a été touché par balle avant d’être arrêté. A
  chaque fusée envoyée par la résistance à Gaza sur al-Quds
  et ses environs, la population se massait sur les toits des maisons pour
  saluer les résistants. Avant même le mois de Ramadan et l’agression criminelle contre
  Gaza, les étudiants de la mosquée al-Aqsa ont
  chassé un groupe de 35 colons qui ont profané la mosquée, le 26 juin. Ils ont
  riposté à l’entrée de 60 colons (juifs et touristes) le premier jour de
  Ramadan, le 30 juin.    V- Al-Quds occupée : « Masâteb al-‘Ilm » dans la
  mosquée al-Aqsa   Depuis plusieurs années, les associations palestiniennes
  musulmanes agissant pour la défense de la mosquée al-Aqsa
  ont mis en place ce qui est désigné par « Masâteb
  al-‘ilm », soit des cours dispensés à
  l’intérieur même de la mosquée par plusieurs maîtres et sheikhs,
  sous la forme de cercles d’études, bien que le terme « masâteb al-‘Ilm » désignât
  historiquement des endroits aménagés à l’intérieur de la mosquée pour
  accueillir enseignants et étudiants. Il s’agit d’abord de renouer avec le
  statut même de la mosquée al-Aqsa et plusieurs
  autres mosquées centrales dans le monde musulman où la mosquée fut un lieu
  d’enseignement autant qu’un lieu de recueillement et de prière, mais aussi
  d’assurer une présence quasi-permanente des fidèles dans la mosquée pour
  empêcher sa profanation par les juifs extrémistes.  Depuis que quelques rabbins extrémistes ont donné l’autorisation
  aux juifs de mener des pratiques talmudiques dans ce qu’ils considèrent
  « le mont du temple », pas un jour ne passe sans que la mosquée al-Aqsa ne soit profanée, que ce soit par des membres
  d’organes sécuritaires de l’entité sioniste, des députés ou des personnalités
  politiques ou alors des groupes de colons. Les « Masâteb
  al-‘Ilm » furent une des réponses à la
  recrudescence des actes profanateurs. La mosquée al-Aqsa est historiquement
  un lieu de savoir, comme l’attestent la venue de milliers de savants
  musulmans, pour y enseigner ou assister à des cours dispensés par d’autres
  savants et la présence de nombreux « masâteb »,
  les plus connus étant « Mastabat al-Sanawbar » ou « Mastabat
  Abu Bakr as-Siddîq »,
  « Mastabat Sabra wa Shatila » et « Mastabat
  al-Ghazâli »,  fondée en l’honneur du
  savant Al-Ghazali qui rédigea son fameux « Ihy’a
  Ulum ad-Dîn » dans
  une des pièces de la mosquée. Initié en 2010, les « Masâteb
  al-‘Ilm » ont accueilli au départ près de 30
  étudiants, mais ce chiffre va augmenter jusqu’à atteindre 600 étudiants et
  étudiantes par jour en 2013, répartis en divers cercles d’étude, qui
  comprennent des cours des sciences religieuses et de langue arabe. Les
  étudiants choisissent leurs cours et y assistent, plusieurs fois par semaine.
   Cette présence quasi-permanente des étudiants à l’intérieur de
  la mosquée al-Aqsa a gêné les plans de l’occupant,
  qui souhaitait s’emparer d’une mosquée abandonnée par les fidèles. C’est
  alors qu’il a lancé, depuis 2013, une vague de répression contre les
  étudiants dans la mosquée, sous le prétexte qu’ils empêchaient les juifs de
  la profaner comme bon leur semble, puisque les étudiants ont réussi à maintes
  reprises à les en chasser. Non seulement les enseignants furent interdits
  d’entrer dans la mosquée, mais les étudiants furent poursuivis, leurs cartes
  d’identité confisqués et ils furent souvent emprisonnés, rien que pour avoir
  assisté à ces cercles d’études. Le nombre d’étudiants et d’étudiantes arrêtés
  a dépassé plusieurs centaines, au cours des derniers mois. De plus, la police
  vole ou détruit les chaises installées par les organisateurs de ces cercles
  d’étude. Les « Masâteb al-‘Ilm »
  sont un des moyens mis en œuvre par les Palestiniens pour résister à
  l’occupation.  Lors de l’interrogatoire des étudiants arrêtés (des centaines au
  cours des derniers mois), les services de renseignements de l’occupation
  essaient de rassembler les informations non seulement sur les étudiants, mais
  sur leurs milieux familiaux, leurs quartiers, leurs voisins, ayant trouvé une
  nouvelle source d’espionnage et d’infiltration dans le milieu maqdisi. Les avocats des étudiants et étudiantes arrêtés
  ont dénoncé les pratiques de l’occupant et mis en garde les Maqdisis arrêtés de fournir des renseignements à
  l’occupant.   VI - Al-Quds occupée : solidarité   Un communiqué de solidarité avec la résistance à Gaza, rédigé
  par la campagne ALI (contre l’Islamophobie en France) souligne le lien entre
  l’islamophobie, la colonisation sioniste de la Palestine et les agressions
  contre la mosquée al-Aqsa et rappelle que les
  sionistes veulent détourner les musulmans du soutien à al-Quds. Un journaliste palestinien écrit : « Où sont vos
  millions de dollars pour soutenir la ville et la population d’al-Quds ? » après avoir décrit les travaux de
  judaïsation menés par l’occupation grâce aux millions récoltés par les
  sionistes. La population maqdisie est menacée d’expulsion et la mosquée al-Aqsa et les lieux saints, chrétiens et musulmans, sont
  menacés par la judaïsation. La défense de l’arabité d’al-Quds,
  et le maintien de sa civilisation, poursuit-il, ne se réalisent pas par les
  slogans et les déclarations, ni par les communiqués de dénonciation.  Le bulletin ne mentionnera plus la pseudo-solidarité des
  organismes étatiques (Ligue arabe, conseil des pays musulmans, Unesco et
  consorts) qui ne font en fait que perpétuer l’occupation et se donnent bonne
  figure auprès des peuples arabes et musulmans. Ils ont leur propre média,
  qu’ils diffusent leurs communiqués trompeurs. Par contre, envoyez-moi toute information sur vos initiatives de
  solidarité avec la ville d’al-Quds, sa population
  et ses lieux saints. Elles figureront dans le bulletin.     |