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          | Campagne
            contre la présence de Sharonaux Nations Unies
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              Appel
              pour refuser la présence de Sharon aux Nations-Unies, à la
              prochaine session (septembre).
               
                Vous pouvez signer l'appel en écrivant à
               
                et diffuser largement l'appel, en le faisant
                circuler.
               
                 
               
                 
               
                
                  
                    
                      | Action
                        : Empêchez la prise de parole de Sharon devant l’Assemblée
                        Générale des Nations Unies ! Par Al-Awda >
                        info@al-awda.org
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                      | Exigez la mise en œuvre de la résolution 194 !
 Exigez le droit au retour des réfugiés palestiniens
                        dans leur patrie !
 Entre le 12 et le 15 septembre 2005, le criminel de
                        guerre Ariel Sharon va s’adresser à l’Assemblée Générale
                        des Nations Unies pour sa soixantième session régulière.
 Réagissez !
 
 Le 15 septembre marque le 23è anniversaire du massacre
                        délibéré de plus de 2000 civils arabes, la plupart
                        Palestiniens et Libanais dans les camps de réfugiés de
                        Sabra et Chatila.
 
 Le ministre de la défense d’alors, Ariel Sharon,
                        l’architecte en chef de l’invasion israélienne du
                        Liban a été reconnu, par une commission d’enquête
                        israélienne, pour avoir été personnellement
                        responsable du massacre.
 
 Le 10 septembre 2005, la déclaration ci-dessous
                        appelant à boycotter le discours de Sharon et à la
                        mise en oeuvre de la Résolution 194 de l’UNGA sera
                        envoyée aux membres de l’Assemblée Générale et à
                        toutes les instances impliquées. Notre ambition est de
                        montrer qu’il y a un consensus international important
                        pour soutenir les droits nationaux palestiniens.
 
 Les victimes de Sabra et Chatila – ceux qui ont péri
                        et ceux qui n’en finissent pas de porter le fardeau de
                        la mémoire et des horreurs du massacre chaque jour, ne
                        nous pardonneraient jamais si nous ne faisions pas le
                        plus que nous pouvons contre la visite de Sharon aux
                        Nations Unies.
 
 S’il vous plait joignez-vous à cette campagne
                        importante.
 
 Nous encourageons les appuis institutionnels,
                        organisationnels et individuels.
 
 Nous vous demandons aussi de faire circuler cette déclaration
                        aussi largement que possible
 
 S’il vous plait envoyez par e-mail vos lettres de
                        soutien à :
 opposesharon@yahoo.com
 
 
 Nous, les sous-signés, RÉCLAMONS qu’Ariel Sharon ne
                        soit pas autorisé à faire de discours devant la
                        soixantième session régulière de l’Assemblée Générale.
                        Le refus de Sharon de respecter la loi internationale,
                        particulièrement quand elle concerne le Droit au Retour
                        des réfugiés palestiniens, est conforme à sa longue
                        carrière de criminel de guerre :
 
 En 1952, Ariel Sharon fut nommé commandant de l’Unité
                        Commando 101 qui lança des raids sur Qibya, un village
                        de Cisjordanie, au cours desquels 69 civils furent
                        assassinés, dont beaucoup étaient des femmes et des
                        enfants.
 
 Le massacre des camps de réfugiés de Sabra et Chatila
                        est intervenu entre le 16 et le 18 septembre 1982 après
                        que l’armée d’invasion israélienne qui occupait
                        alors Beyrouth sous le commandement absolu de Sharon
                        alors Ministre de la Défense israélien, ait permis que
                        les membres de la Phalange et des milices locales alliées
                        entrent dans les camps.
 Il y a eu plus de 2000 victimes civiles dont les bébés,
                        des enfants, des femmes et des personnes âgées.
 
 En février 1983, une commission d’enquête de trois
                        responsables israéliens en charge d’une enquête sur
                        ces évènements, dénommée Commission Kahan, cita
                        l’ancien ministre de la défense Sharon comme l’une
                        des personnes qui "porte une responsabilité
                        personnelle" dans le massacre de Sabra et Chatila.
 
 L’intifada Al-Aqsa a commencé quand Sharon s’est
                        rendu à la mosquée Al-Aqsa et au Noble Sanctuaire
                        (Mont du Temple ) à Jérusalem avec une garde militaire
                        et policière très lourde. Cette visite était un coup
                        calculé qui a provoqué la résistance attendue du
                        peuple palestinien opprimé.
 
 
 Ariel Sharon continue dans son mépris absolu de la
                        loi internationale.
 
 Son refus de respecter tellement de résolutions des
                        Nations Unies concernant le conflit israélo-arabe est légendaire.
 
 Mais récemment Sharon a réitéré son rejet du droit
                        des réfugiés palestiniens au retour dans leurs maisons
                        et sur leurs terres originelles.
 
 Un mépris si absolu pour la volonté de la communauté
                        internationale constitue une grave violation des la Déclaration
                        Universelle des Droits de l’Homme et des Droits
                        politiques, de la Convention Internationale sur l’Elimination
                        de toutes les Formes de Discrimination Raciale, des
                        conventions européennes, américaines et africaines des
                        Droits de l’Homme, et de la Quatrième Convention de
                        Genève de 1949.
 
 Cela reflète aussi le refus de Sharon de mettre en œuvre
                        la résolution 194 des Nations Unies qui a été réaffirmée
                        pratiquement tous les ans depuis 1948.
 
 Généralement la même position a été affirmée par
                        le Comité pour le traité des Nations Unies, par les
                        conventions régionales sur les droits de l’homme et
                        pratiquement toutes les ONG pour les droits de
                        l’homme.
 
 Nous trouvons étrange que l’Assemblée Générale
                        veuille permettre à un criminel de guerre comme Ariel
                        Sharon de lui adresser un discours, surtout si on considère
                        sa répugnance explicite pour les Nations Unies comme
                        pour la volonté collective de la grande majorité des
                        états membres.
 
 
 Nous RECLAMONS aussi que l’Assemblée Générale
                        s’engage à faire respecter la résolution 194.
 
 Le droit des réfugiés palestiniens et des déplacés
                        à retourner dans leur patrie est un droit historique
                        garanti par la loi internationale. C’est un droit
                        individuel et collectif qui ne peut être relégué,
                        amoindri, ou confisqué par aucun représentant des
                        Palestiniens dans aucun accord ou traité.
 
 Comme tel, le Droit au Retour n’est en aucune façon
                        remplaçable ou concerné par la création d’un état
                        palestinien sous quelque forme que ce soit.
 Selon la loi internationale, des accords qui prétendraient
                        exclure le droit des réfugiés au retour dans leurs
                        maisons ou tout autre droit inaliénable sont illégaux.
 
 Le droit des réfugiés au retour a été exercé avec
                        le soutien de la communauté internationale au Kosovo,
                        en Bosnie, dans l’Est du Timor, au Rwanda, au
                        Guatemala et dans bien d’autres régions. Pourtant, on
                        continuer de l’ignorer et de le négliger en
                        Palestine.
 
 Cette application sélective de la loi internationale et
                        des résolutions des Nations Unies ne fait que miner au
                        lieu de les renforcer les efforts pour bâtir un monde
                        en paix et juste.
 
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                      | Source
                        : http://www.al-awda.org |  |  
                      | Traduction
                        : CS pour ISM |  |  
      
 
        
          
            | Source
              : Palestine en marche |  
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