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      prisonniers mineurs souffrent d'abuset d'oppression dans la prison d'Hasharon
 GAZA
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      8 Mars 2005. Un rapport de la Société de Prisonniers palestiniens (SPP),
      indique que les prisonniers mineurs de la prison d'Hasharon, souffrent un
      traitement très mauvais en continu de la part de l'administration de la
      prison et leur situation n'a pas du tout été allégée, même après la
      reprise récente du processus de paix. L'avocat de SPP, Raed Mahameed a déclaré, après la
      visite de la prison de " Gilboua " et la rencontre des plusieurs
      prisonniers, que les conditions de détentions dedans la prison ne se sont
      pas améliorées, les perquisitions des prisonniers dénudés étaient
      encore pratiquées, avant et après la présentation devant la cour, comme
      aussi l'empêchement de quelques prisonniers de rencontrer leurs parents.
 La déclaration de Mahameed est venue dans un rapport, duquel l'IPC a
      reçu une copie, et qui présentait la souffrance de prisonniers dans la
      prison de Gilboa ; la nourriture d'une qualité très mauvaise et
      l'empêchement des plusieurs prisonniers de recevoir le " Coran
      " et des cassettes de leurs familles.
 
 Il a ajouté que l'administration de la prison refusait plusieurs fois à
      donner une médication ou du soin propre aux prisonniers malades, surtout
      à ceux blessés pendant les interrogatoires. Un cas exemplaire pour ce
      traitement est Mohames Al Taj, de Tubas, qui souffre d'une blessure à son
      œil droit, étendue maintenant au gauche, à cause du manque du
      traitement et la torture continue.
 
 Ramzi Kharboush, de Toulkarem est un autre prisonnier détenu dans la
      prison de Gilboua, qui souffre des douleurs à la poitrine et a besoin
      désespérément du traitement, sa condition se détériorant
      continuellement, surtout qu'il a une main amputée.
 
 Le rapport inclut aussi la déclaration de l'avocat Hanan Al Khatib, qui a
      réussi à visiter la prison d'Hasharon pour les mineurs, dans laquelle 80
      mineurs palestiniens sont emprisonnés. Al Khatib a affirmé qu'elle avait
      rencontré Motaz Dardouri, 17 ans, du camp de réfugiés de Toulkarem.
      Motaz a déclaré qu'il avait été battu fortement lors de sa
      déposition. Il a aussi avoué à l'avocat qu'il était en prison depuis
      deux mois et demi et vivait dans des conditions brutes.
 
 Un autre prisonnier, Ahmad Al Shobaki, s'est plaint de l'"
      agglomération " dedans les cellules de la prison, comme chaque
      troisième prisonnier dormait à terre. Il a aussi précisé que plusieurs
      fois ils étaient punis par l'administration de la prison, avec des
      amendes financières, et des autres restrictions, pour des raisons
      insignifiantes.
 
 Source : IPChttp://www.ipc.gov.ps/ipc_new/france/details.asp?name=3105
  
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