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AFPS.jpgAssociation France Palestine Solidarité Nord - Pas de Calais

 

 


Message « Palestine » - 26 janvier 2016

http://www.nord-palestine.org/2016-01-26MessagePalestine.htm

(ne pas répondre à ce message, mais uniquement à «contact@nord-palestine.org »)

 

 

 

 

« Nous ne cèderons pas » sur BDS

AFPS Nord-Pas de Calais

Lille le 26 janvier 2016

 

 

L’AFPS Nord-Pas de Calais, comme l’AFPS nationale, est partie prenante de l’appel « Nous ne cèderons pas » initié par la LDH (1) contre l’état d’urgence. Une manifestation est organisée, à Lille, le samedi 30 janvier 2016, l’AFPS Nord-Pas de Calais y sera bien présente avec ses drapeaux et banderoles.

 

Elle y sera présente sur la base de ses actions actuelles, tandis que l’état d’urgence se traduit par la restriction des libertés publiques dans le pays. Elle est notamment intervenue auprès du Ministre de la Justice, Christiane Taubira, afin que cesse la criminalisation du boycott citoyen, lors de sa visite à Douai, vendredi 22 janvier 2016. Parmi les exemples cités au représentant de la Ministre : les condamnations de militants BDS à Colmar et Alençon, ainsi que les quatre militantes et militants menacés à Auxerre. Il est nécessaire de se mobiliser dans la rue quand le Premier Ministre, Manuel Valls, se fait le promoteur de l’apartheid israélien, en France, tandis que ce sont les défenseurs du peuple palestinien qui sont poursuivis et parfois condamnés. Pour mars prochain l’AFPS Nord-Pas de Calais prépare de nouvelles actions BDS.

 

Nous avons alerté sur l’acharnement israélien dont est victime Elsa Lefort, épouse de Salah Hamouri, refoulée à l’entrée d’Israël, alors qu’elle désirait retrouver son domicile et son époux à Jérusalem et alors qu’ils attendent leur premier enfant. De multiples témoignages de solidarité nous sont parvenus et continuent de parvenir. Hier, Marc Dolez et Jean-Jacques Candelier, députés du Douaisis et Alain Bocquet, député-maire de Saint Amand Les Eaux, comme Karima Delli, député européenne, faisaient parvenir leur soutien. Aujourd’hui : Marie Christine Blandin, Sénatrice du Nord et Guy Delcourt ancien Maire de Lens et député du Pas de Calais. Vous trouvez ici le point établi par Jean-Claude Lefort, Président d’honneur de l’AFPS, et le lien pour le soutien.

 

Nous poursuivons notre solidarité avec les prisonniers palestiniens, d’autant plus nécessaire que les arrestations se multiplient, les condamnations tombent, et les mesures de détention administrative se développent. Le mouvement de parrainage s’enracine dans la région. De nouvelles initiatives sont en préparation sur Douai et Saint Amand. Pour Lille une initiative forte est maintenant prévue le 1er avril. Nous avons l’ambition d’établir un large réseau de solidarité régionale pour les prisonniers palestiniens.

 

C’est un appel à la mobilisation et à l’action que l’AFPS Nord-Pas de Calais lance pour le 30 janvier 2016. La défense des droits et libertés en France, comme nous la menons pour la Palestine, fait partie de ses objectifs de lutte et de solidarité.

 

 

(1)    http://www.humanite.fr/appel-unitaire-nous-ne-cederons-pas-590848

 

 

 

 

 

 

 

 

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Elles et ils soutiennent

Salah Hamouri, Elsa et leur enfant

Par Jean-Claude Lefort, Président d’honneur de l’AFPS

Le 26 janvier 2016

 

 

Premiers signataires : Christiane Hessel ; Ahmed Abbes, directeur de recherche au CNRS ; François Asensi, député ; Eliane Assassi, sénatrice ; Alexis Bachelay, député ; René Balme, maire honoraire de Grigny ; Khiari Bariza, sénatrice de Paris ; Marie-France Beaufils, sénatrice ; Maryse Bergé-Lavigne, sénatrice honoraire ; Olivier Besancenot ; Michel Billout, sénateur ; Alain Bocquet, député du Nord ; Pascal Boniface, géo politologue ; Laurent Bonnefoy, chercheur CNRS au CERI/Sciences Po ; Philippe Bouyssou, maire d’Ivry; Jean-Pierre Bosino, sénateur ; Yasmine Boudjenah, ancienne députée européenne ; Jean-Claude Bourdin, professeur émérite université de Poitiers ; Jacques Bourguoin, ancien maire de Gennevilliers ; Patrick Braouezec, député honoraire ; Henri Braun, avocat au Barreau de Paris ; Ian Brossat, maire-adjoint de Paris ; Marie-Georges Buffet, députée, ancienne ministre ; Maurice Buttin, avocat, président du CNVRO ; François Burgat, politiste ; Jean-Jacques Candelier, député du Nord ; Jean-Michel Catala, avocat ; Monique Cerisier ben-Guiga, sénatrice honoraire ; Monique Chemillier-Gendreau, professeur émérite de droit international ; Laurence Cohen, sénatrice ; Pierre Cours-Salies, professeur de philosophie; Sergio Coronado, député des Français de l'étranger ; Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale EELV ; Cécile Cukierman, sénatrice ; Yves Daniel, député ; Annie David, sénatrice ;  Daniel Davisse, maire Honoraire de Choisy-le-Roi, officier de la Légion d'honneur ; Karima Delli, députée européenne ; Michelle Demessine, sénatrice du Nord ; Erica Deuber Ziegler, historienne de l’Art (Suisse) ; Jean-Jacques Dilong, avocat à la cour de Paris ; Françoise Diehlmann, ancienne conseillère régionale; Marc Dolez, député ; Pascal Durand, député européen; Marie-Françoise Duthu, ancienne députée au Parlement européen ; Sylvain Dreyfus, avocat ; Christian Favier, président du Conseil départemental du Val-de-Marne, sénateur ; Jacqueline Fraysse, députée ; Zoé Genot, députée régionale (Belgique) ; Dr. Mariette Gerber, INSERM-Institut du Cancer de Montpellier ; Jérôme Gleizes, conseiller de Paris ; Henri Goldman, rédacteur en chef de “Politique, revue de débats” (Belgique) ; Brigitte Gonthier-Maurin, sénatrice ; Adel Hakim, acteur, metteur en scène de théâtre ; Nordine Idir, secrétaire général du MJCF ; Pierre Laurent, sénateur ; Sarah Katz, retraitée CNRS ; Nicole Kiil-Nielsen, ancienne eurodéputée ; Agnès Levallois, journaliste, experte du Proche-Orient ; Myriam Martin, porte-parole Ensemble-Front de gauche; Renée Le Mignot, vice-présidente du MRAP ; Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers ; Claude Léostic, présidente de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine ; Alain Lhostis, ancien maire-adjoint de Paris, Chevalier de la Légion d'honneur ; Hélène Luc, sénatrice honoraire du Val-de-Marne, officier de la légion d'honneur ; Joëlle Marelli, Collège international de philosophie ; Michel Ménard, député ; Roland Muzeau, ancien sénateur; Ron Naiweld, chercheur au CNRS ; Marielle Nicolas, maître de conférences Université de Pau ; Jean Ortiz, maître de conférences honoraire Université de Pau ; Ghislain Poissonnier, magistrat ; Raphaëlle Primet, conseillère de Paris ; Barbara Romagnan, députée ;  André Rosevègue, co-président de l'Union Juive française pour la Paix ; Julien Salingue, docteur en science politique ; Pascal Santoni, journaliste ; Pierre Stambul, coprésident de l’UJFP ; Michel Staszewski, enseignant, membre de l’Union des Progressistes Juifs de Belgique (UPJB) ; Taoufiq Tahani, Président de l’AFPS ; Bernard Ravenel, historien ; Marie-Christine Vergiat, députée européenne ; Dominique Vidal, journaliste, historien ; Daniel Voguet, avocat honoraire au Barreau de Paris ; Guillaume Weil-Raynal, avocat et auteur ; Francis Wurtz, député européen honoraire ; Jean Ziegler, sociologue, ancien Rapporteur spécial de l’ONU (Suisse)

Michel Issindou, député, président du groupe d’amitié avec la Palestine à l’Assemblée nationale et Gilbert Roger, sénateur, président du groupe d’amitié avec la Palestine ont envoyé une lettre de soutien à Laurent Fabius de même que Pouria Amirshahi, député des Français de l’étranger et Marie-Christine Blandin, sénatrice..Esther Benbassa s’est saisie du problème.

 

Et plus de 7.500 sur le site pétition

 

 

Après Salah Hamouri, sa femme et leur enfant

frappés par l’arbitraire israélien !

 

Signer la pétition

 

L’acharnement israélien contre Salah Hamouri continue obstinément. Trois ans après qu’il soit sorti de prison où il a passé 7 ans de sa jeune vie, sur la base d’un dossier vide, les dirigeants israéliens le poursuivent pour l’empêcher d’avoir une vie normale sur la terre où il est né : en Palestine. Des ordres militaires succèdent aux ordres militaires restreignant sa liberté de mouvement et d’études, cherchant à l’empêcher de vivre « normalement ».

Et maintenant, en plus de ces attaques contre lui, c’est sur sa femme, enceinte de 6 mois et demi, que les foudres viennent de tomber brutalement, cyniquement, sans la moindre humanité, et en toute illégalité, en ce début 2016.

Salah Hamouri et Elsa Lefort se sont mariés en mai 2014. A Jérusalem. Ceci après mille tracasseries administratives, résultats du fait que Jérusalem-Est, où ils habitent, est annexée illégalement et sous juridiction israélienne.

Normalement, ce mariage étant dûment acté et enregistré, Elsa aurait du recevoir un « visa épouse » lui permettant de voyager librement non seulement en Israël et en Cisjordanie mais aussi l’autorisant à sortir pour aller à l’étranger et en rentrer. Demande a été faite pour ce visa et un premier refus est tombé après plus d’un an de démarches. Motif : « Votre mari est un danger pour Israël » et donc pas de visa pour vous ! Appel, rendant suspensive cette décision, a été fait. Elsa se trouvant néanmoins limitée dans ses mouvements et ne pouvant pas circuler à l’étranger sous peine d’être interdite d’entrée.

Elsa travaille pour le Consulat général de France à Jérusalem et à ce titre elle a obtenu un « visa de service » délivré par le Bureau des Affaires Consulaires du Ministère des Affaires étrangères israélien lui permettant d’aller et venir sur place et à l’étranger, valable jusqu’au 12 octobre 2016.

Le 21 décembre 2015, utilisant cette possibilité légale, elle est venue en France. Elle en est repartie le 5 janvier. Et à l’arrivée à l’aéroport Ben Gourion de Tel Aviv le 5, en milieu de journée, le cauchemar a commencé.

Les autorités israéliennes l’attendaient avec un plan sordide, calculé à l’avance. Ils contestèrent la validité du visa de service au prétexte qu’elle n’avait pas de « visa épouse ». Ils la mirent en prison deux jours, sans le moindre ménagement malgré sa grossesse visible.

Avec l’aide d’un avocat dépêché sur place, elle fit appel de cette décision inique. Réponse ? Cette fois ce n’était plus seulement son mari mais c’était elle-même qui était « dangereuse » aux yeux des autorités israéliennes ! Ceci étant écrit par le « juge » sous la dictée du Shin Beth lequel affirmait, sans la moindre preuve évidemment et pour cause, ce mensonge total aboutissant néanmoins à un déni de droit et à un arbitraire absolu. Elle fit de nouveau appel le lendemain, soit le 7 janvier, et la réponse du « tribunal » fut identique : « Vous êtes une terroriste » ! Ni plus ni moins. En conséquence, Elsa fut expulsée du territoire avec impossibilité, à l’heure qu’il est, d’y retourner.

Elsa enceinte de 6 mois et demi ne pourra plus prendre l’avion d’ici 3 semaines. L’enfant « risque » donc de naître en France et ne pas avoir le « statut » de Jérusalémite ce qui sera d’emblée un obstacle pour lui pour son devenir.

Il faut absolument empêcher ce terrible déni de justice et cet arbitraire inacceptable qui s’abat désormais sur la femme de Salah et sur leur enfant avant même qu’il ne soit né – un arbitraire qui ne repose sur strictement rien d’autre que des mensonges inventés de toute pièce par les services secrets israéliens.

Nous en appelons avec force aux autorités françaises : la « justice » n’a rien à voir dans cette situation qui n’est en rien un « affaire intérieure » à Israël. Tout le stratagème cynique israélien est politique et il n’est rien d’autre. C’est la politique qui doit régler cette situation afin que Salah, Elsa et leur enfant puissent vivre ensemble, tous les trois, à Jérusalem et puissent circuler librement.

Nous en appelons aux soutiens des élu-e-s et personnalités de toutes tendances, aux citoyen-ne-s, pour relayer cette exigence et soutenir les droits de cette jeune famille tels qu’en dispose les Conventions internationales. Israël ne peut pas, ne doit pas, être au dessus des lois et du droit ! La liberté est universelle ou elle n’est pas.

 

Justice et liberté pour Salah, Elsa et leur enfant !

 

 

 

 

 

 

Le 14 janvier à Lille:

réunion « Parrainage des prisonniers palestiniens »

par AFPS 59/62

 

Elle se tenait à la MRES à Lille en soirée. C’était la première soirée consacrée aux parrainages sur la métropole. Tous les parrains et marraines du 59/62 avaient été invités : 92 personnes. Plusieurs parrains, ne pouvant être présents, ont écrit leur souhait d’être tenu au courant par un compte-rendu et de rester en contact.

 

L’échange durant une heure et demie s’est surtout fait entre personnes ayant déjà la pratique de l’écriture aux prisonniers, en particulier sur l’objectif du parrainage. Parrainer pour tous est un  geste militant, politique mais l’aspect humanitaire occupe une place différente d’un parrain à l’autre.

Certains sont plus touchés de n’avoir de réponse du prisonnier, ils ont développé une relation très affective. Pour les autres, ne pas recevoir de réponse «  fait partie du parrainage » et est accepté des le début.

 

Périodicité : l’écriture tous les mois est difficile à toujours tenir. Un petit  mot, une carte témoignent de la solidarité. Il est conseillé de ritualiser l’envoi: la première semaine du mois par exemple et de réfléchir à cette lettre quelques jours avant.

 

L’écriture se fait pour les présents en anglais avec une note en arabe pour qui en a la possibilité.  Il serait possible de proposer des modèles de formules à recopier.

 

Contenu : Il peut être très variable d’un parrain à l’autre selon leur conception du parrainage. Certains parlent de leur vie, d’autres de leur ville ou région. Il n’est pas nécessaire de parler de l’activité militante soumise à la censure de l’administration pénitentiaire. Photos, cartes postales, timbres français sont joints selon la personnalité des parrains. L’acte d’écrire est déjà politique. Le responsable national, Moncef Chahed précise que les prisonniers vivant dans des conditions très difficiles ( 13 au lieu de 8 par cellule, souvent placés en isolement….) attendent les lettres et apprécient les photos de nature, paysages…

 

L’attitude de l’administration pénitentiaire israélienne fut largement commentée. Composée souvent de colons. L’arbitraire est très important. La distribution ou non des courriers est très variable, et dépend des surveillants, les lettres sont toujours ouvertes avant d’être distribuées. Les livres, timbres et autres dans les courriers sont souvent gardés par les surveillants.

 

Un point a été fait sur le travail entrepris par le responsable national des prisonniers l’automne dernier, auprès des familles: l’appareil répressif israélien  change régulièrement  les prisonniers de centre de détention. Il pense que l’envoi de timbres israéliens afin que les prisonniers répondent à leurs parrains ne sert à rien, les surveillants les gardant souvent. L’obstacle n’est pas matériel ou financier.

Le gros de leurs échanges sont avec les familles : 2 fois par mois (très difficiles ne serait-ce que pour des raisons matérielles et l’éloignement) et les avocats.

Son retour sur place est que les Prisonniers sont très demandeurs de parrains. Nous pensons également que la promiscuité permet des échanges entre prisonniers parrainés ce qui déplait aux autorités 

 

Parfois, les lettres ne sont distribuées qu’en fin de peine donc il ne faut pas oublier de noter dans la correspondance le n° du courrier. En cas de remise tardive du courrier cela doit contribuer à ce que le prisonnier récupère son dû.

 

Le gros des parrainages de prisonniers palestiniens se fait en  France : 3300. Un parrainage commence à apparaître en Grande-Bretagne, en Belgique et en Espagne (300).

 

Une association palestinienne « Le club des Prisonniers  » essaye actuellement de mettre à jours les fichiers afin que chaque parrain «  suive » le prisonnier qu’il parraine.

Un peu de patience !

Les parrains doivent rester solidaires et pourquoi pas se rencontrer régulièrement.

 

Parrainer est un acte fort en cette période très difficile : 30 Prisons en Israël, 6700 prisonniers dont 320 enfants.

 

 

 

 

 

 

 

Rencontre

avec un Conseiller de Christiane Taubira

le 22 janvier 2016 à Douai

AFPS Nord-Pas de Calais

Lille le 24 janvier 2016

 

 

Suite à un courrier au Ministre de la Justice, relayé par le Sous-Préfet de Douai, Madame Taubira, Ministre de la Justice, a fait recevoir par un de ses conseillers la représentation de l’AFPS Nord-Pas de Calais à l’occasion de sa venue au Palais de Justice de Douai, le vendredi 22 janvier 2016.

 

Jean-François Larosière, Président de l’AFPS Nord-Pas de Calais, précise au Conseiller ministériel que l’Association France Palestine Solidarité est partie prenante de l’appel « Nous ne cèderons pas » et qu’elle est signataire, dans le Nord-Pas de Calais, de l’appel à manifester à Lille le 30 janvier contre l’état de l’urgence. Il précise que le projet gouvernemental de déchéance de la nationalité a suscité dès son annonce une émotion légitime de la part des militants et responsables de l’association qui se dressent contre ce projet. De même il est hors de question de remettre en cause le droit de manifester. (1)

 

Il a tout particulièrement développé auprès du représentant de la ministre les raisons pour lesquelles nous nous opposons à la poursuite de la criminalisation du Boycott/Désinvestissement/Sanctions contre Israël, via l’application des circulaires Alliot-Marie et Mercier toujours pas abrogées. Les condamnations de Colmar et Alençon ont été évoquées, de même que les menaces pour Auxerre. Un dossier comprenant le communiqué de presse du 20 janvier et le texte de la pétition que l’AFPS Nord-Pas de Calais fait signer depuis 2013 a  été remis au Conseiller.

 

Le caractère exceptionnel de la France, par cette criminalisation de BDS, dans une Europe qui ne brille pourtant pas en matière de Droits et Libertés, a été souligné en conclusion.

 

Le Conseiller de la Ministre a indiqué qu’il faisait remonter.

 

(1) Voir l’appel pour le 30 janvier à Lille sur le site www.nord-palestine.org à l’agenda

 

 

 

 

 

 

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Samedi 7 novembre 2015 à Euralille: rassemblement BDS 

 

 

 

 

 

 

AGENDA  (http://www.nord-palestine.org/agenda.htm)

 

Dimanche, à 14h sur le site www.yjctv.ps:

« Bonjour de Gaza la vie » émission radio francophone en direct de Gaza

Par Ziad Medoukh, responsable du département de français de l’université Al-Aqsa de Gaza, et ses étudiants

Samedi 30 janvier à 14h30, place de la République à Lille:

Manifestation « Nous ne céderons pas »  >> et >> 

Jeudi 11 février, à Auby :

Réunion  « Parrainage des prisonniers palestiniens »

organisée par AFPS 59/62

Samedi 13 février, à 10h 15, à la MRES de Lille :

Réunion du Conseil de l’AFPS 59/62

Du mercredi 17 février au 20 mars à l’IMA à Paris :

« La Palestine à l’IMA » >> et >>

Exposition « Au cœur de l’art contemporain palestinien », cinéma, conférences…

Samedi 20 février, à 15h, place Pierre-Degeyter à Fives-Lille :

Table d’information sur la Palestine par AFPS 59/62

Samedi 26 mars à Lille:

Journée de la Terre

Vendredi 1 avril à Lille :

Soirée palestinienne de Solidarité avec stand AFPS 59/62

Organisée par Palmed France et la Communauté Palestinienne du Nord

Dimanche 17 avril à Lille:

Journée internationale des prisonniers politiques

Mardi 26 avril, à 20h, au cinéma Le Méliès, rue Trudaine à Villeneuve d’Ascq :

Projection/débat du film « Censored Voices » avec Taoufiq Tahani, président de l'AFPS

Dimanche 1er mai à Lille :

Manifestation avec défilé Palestine

Dimanche 1er mai à Arras :

Salon du livre « Colères du présent » avec stand AFPS 59/62

Samedi 14 et dimanche 15 mai à Avion :

Fête de « l’Humain d’abord »

 

 

 

Venez renforcer l’AFPS Nord-Pas de Calais :

Bulletin d’adhésion pour l’année 2016 à imprimer :

http://www.nord-palestine.org/bulletin_adhesion.htm


 

 

 

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