Retour

AFPS.jpgAssociation France Palestine Solidarité Nord - Pas de Calais

 

 


Message « Palestine » - 15 mai 2015

2015-05-15MessagePalestine.htm

(ne pas répondre à ce message, mais uniquement à «contact@nord-palestine.org »)

 

 

 

 

Multiplier les liens avec les Palestiniens

AFPS Nord-Pas de Calais

Lille le 15 mai 2015

 

 

Ce message intervient après une mission de l’Association France Palestine Solidarité Nord-Pas de Calais en Cisjordanie et à Jérusalem. Cette mission a été menée à bien malgré l’inqualifiable refoulement dont ont été victimes deux de ses membres. Le comportement raciste des services israéliens est devenu systématique, comme l’arbitraire total. Il atteint de jeunes Français(es) comme aussi des représentants officiels d’autres pays, ainsi l’Afrique du Sud. Les autorités françaises se doivent de cesser leur complaisance à l’égard des autorités israéliennes : des mesures de rétorsion sont indispensables à leur égard. La possibilité de se rendre librement en Palestine est un droit. Il doit pouvoir s’exercer librement, sans entraves des forces d’occupation.

 

Les comptes rendus sont en préparation pour toute la région. Une date est déjà fixée pour Lille avec une soirée le vendredi 12 juin. Elle sera l’occasion d’indiquer les voies d’une multiplication des échanges avec les Palestiniens. La première exigence est la solidarité. Au moment où ces lignes sont écrites les forces d’occupation poursuivent leur travail d’expulsion des Palestiniens dans le village de Qusra, près de Naplouse, tandis que le camp de réfugiés de Balata, y est investi par l’armée israélienne. L’AFPS Nord-Pas de Calais organise la réplique.

 

Parmi les échanges, l’un possède une haute valeur symbolique : il s’agit du parrainage des prisonniers comme de l’ensemble des actions en vue de leur libération. Palestine La case prison, un film de Frank Salomé, sera projeté pour la première fois dans le Nord de la France, à Auby, le jeudi 11 juin dans le cadre d’une soirée consacrée aux prisonniers palestiniens. Une première qui en appelle d’autres. L’action pour la liberté de circuler de Salah Hamouri  a  régionalement un caractère de masse.

 

Il n’est pas possible d’oublier qu’une partie de la Palestine reste soumise, à Gaza, par l’occupant israélien, à un blocus aussi illégal que criminel. L’AFPS Nord-Pas de Calais poursuit ses interventions pour sa levée. La 3ème flottille de la Liberté de passage en Bretagne a son soutien total.

 

La population de Gaza est en grande partie constituée de réfugiés. En ce 67 ème anniversaire de la Nakba, l’AFPS Nord-Pas de Calais réaffirme non seulement l’exigence de levée du blocus, de sanctions contre Israël, de libération de tous les prisonniers palestiniens, notamment de Marwan Barghouti, mais aussi son attachement à l’application de la résolution 194 de l’ONU affirmant le droit au retour. Elle mène à ce sujet la campagne BDS, renouvelant à ce sujet ses actions envers Orange ou Veolia

 

 

 

 

 

 

Deux jeunes Lillois se rendant à Naplouse refoulés à l’aéroport de Tel Aviv

 

Par AFPS Nord-Pas de Calais

Lille le 28 avril 2015

 

Deux jeunes Lillois, Meïssa B et Tofayl K, adhérents de l’AFPS Nord-Pas de Calais, qui se rendaient à Naplouse, ville palestinienne jumelée avec Lille, ont été refoulés mardi 28 avril 2015 de l’aéroport israélien de Tel Aviv qui est le seul permettant de se rendre en Cisjordanie afin de rencontrer des amis. En moins de 24 heures, sans possibilités de recours, ils ont été refoulés sur Bruxelles. Jean-Jacques Candelier, député communiste, était intervenu dans la nuit auprès de Laurent Fabius en vue d’arrêter la machine infernale israélienne.

 

Cette expulsion se produit à la suite de plusieurs autres en quelques jours, visant responsables politiques, militants associatifs ou tout simplement des personnes soucieuses de rencontrer des amis palestiniens. Successivement ont été refoulés : le responsable des jeunes communistes du Val de Marne, deux jeunes musiciens angevins, trois militants alsaciens et maintenant les jeunes Lillois. Comme le déclare un communiqué national de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS): ainsi se dévoile « toute la palette de l’arbitraire israélien.» (1)

 

Les autorités gouvernementales françaises sont interpellées : ces cas s’ajoutent à des centaines d’autres. Elles se doivent de cesser leur complaisance auprès des dirigeants de l’Etat colonial israélien. Elles doivent s’en prendre à l’impunité israélienne qui nous éloigne de la paix.

 

(1) : http://www.france-palestine.org/La-France-doit-s-opposer-a-l-arbitraire-colonial

 

 

 

 

 

 

Passage éclair en Palestine occupée

Par Tofayl et Meïssa de l’AFPS 59/62

Victimes du racisme et de l’arbitraire israélien

 

 

Lundi 27 avril, 14h30. Notre avion atterrit à l’aéroport Ben Gourion, Tel Aviv, Israël. C’est le début de notre voyage tant attendu en Palestine. Un voyage qui ne durera que 24h durant lesquelles nous ne voyons même pas la lumière du jour. Suite à six mois de préparation, de nombreuses réunions, des rencontres prometteuses, de beaux projets et surtout l’espoir de rencontrer enfin le peuple palestinien, notre voyage est écourté après quelques heures passées dans les cellules sionistes.

Dans les longs couloirs de l’aéroport, les murs sont recouverts d’affiches publicitaires incitant au tourisme en Israël. L’une d’entre elle retient particulièrement notre attention : « Visit Israel : you will never be the same ». Après 24h passées à subir les pratiques arbitraires de cet Etat, le slogan a tenu sa promesse.

Arrivés à la douane, et sur recommandation de nos camarades étant déjà partis en Palestine auparavant, nous évitons les postes de contrôle tenus par des femmes, ayant la réputation d’être encore plus strictes et arrogantes que les hommes. Manque de chance, le soldat en civil derrière sa vitre prend sa pause et une femme soldat le remplace. Devant nous, une autre camarade faisant partie de la mission passe sans problème. Il n’en est pas de même pour nous.

Pour éviter les interrogatoires, chaque membre du groupe doit annoncer « tourisme » comme motif de voyage. En effet, porter un nom à connotation arabe et avoir une activité militante constitue en soi un délit pour la « plus grande démocratie du Moyen Orient ». Après quelques questions sur le motif du voyage et les liens nous unissant, on nous questionne sur nos origines, malgré nos passeports français : « comment s’appellent vos parents ? », « sont-ils nés en France ?», « quand sont-ils arrivés en France ? », « comment s’appellent vos grands-pères ? ». Immédiatement après avoir répondu à ces questions, la douanière presse un bouton et saisit son téléphone. Dix secondes plus tard, une personne emporte nos passeports et nous demande de la suivre. Pourtant, la troisième personne de notre groupe, dont le nom est bien français, se voit immédiatement délivrer un visa.

On nous installe dans une petite salle, où d’autres passagers attendent comme nous des nouvelles de leur passeport. Dix minutes plus tard, on vient nous chercher un par un. Un agent parlant un français parfait nous interroge : « quel est le motif de votre séjour ? », « êtes-vous déjà venus en Israël ? », « où allez-vous séjourner ? », « notez sur ce papier vos numéros de téléphone et adresse mail », « que faites-vous dans la vie ? », « comment s’appellent vos parents et grands-parents ? », etc. Pendant ce temps, un autre agent prend note de nos dires sur un ordinateur. L’agent parlant français quitte la salle. Nous ne le reverrons pas, la suite de l’interrogatoire se fera en anglais.

On nous renvoie dans la salle d’attente, puis un colosse vient chercher le premier d’entre nous et l’emmène dans son bureau. Au mur, deux cadres de Netanyahou, le criminel international, un grand drapeau israélien, une carte du monde et une photo de Jérusalem. Sur le bureau, deux agrandissements de nos passeports. Le colosse des services de renseignements annonce la couleur : « on va être très clair avec toi : on sait que tu mens, donc si à la fin de cet entretien tu n’as pas accepté de coopérer, c’est retour direct chez toi ». Etant psychologiquement préparés car ayant été prévenus des pratiques de déstabilisation typiques des agents de l’aéroport, nous affrontons sereinement le questionnement : « pourquoi Israël et pas un autre pays ? », « où allez-vous vous rendre en Palestine ? », « qui connaissez-vous en Palestine ? », « on sait que vous connaissez

quelqu’un à Gaza », « pourquoi voyagez-vous avec un seul téléphone pour trois ? », etc. Nous avions décidé de prendre un seul téléphone pour trois, ce qui apparemment constitue en Israël un délit de terrorisme, car c’est sur ce point que l’agent de renseignement insiste fortement. Après nous être fait insulter de menteurs, de malhonnêtes, nous nous faisons menacer, crier dessus, humilier, manquer de respect. Pendant des heures, on nous fait subir une épreuve psychologique, on s’adresse à nous comme à des coupables, comme si nous étions des criminels dangereux. On nous ressasse sans cesse les mêmes questions : « qui connaissez-vous en Palestine ? », « pourquoi êtes-vous ici ? ». Les deux agents de renseignements nous traitent comme des moins que rien : ils nous posent des questions puis ignorent nos réponses, nous disent « shut up ! » quand ça leur chante, nous ordonnent d’ouvrir la porte puis de la refermer aussitôt, nous chassent brutalement du bureau en hurlant « get out of here !!! », puis nous rappellent aussitôt, nous envoient se chercher l’un et l’autre en des temps records : « tu as 10 secondes pour aller le chercher ! », nous humilient publiquement, crient nos prénoms dans l’aéroport comme s’ils s’adressaient à des chiens, et d’autres choses encore que nous pouvons difficilement exprimer avec des mots.

Malgré les humiliations publiques et les provocations constantes, nous ne perdons notre sang froid à aucun moment. A l’instar des Palestiniens, nous gardons notre calme et appliquons la stratégie du Sumud (résistance non violente axée autour de l'idée de ténacité). Nous avons bien conscience, à chaque minute, que ce que nous subissons n’est rien comparé au quotidien des Palestiniens sous occupation.

L’un d’entre nous ayant beaucoup voyagé, on l‘accuse d’être journaliste ou encore espion. Après le harcèlement et la fouille du téléphone, ils passent aux adresses mails. Le même agent nous demande si nous avons déjà pris part à des actions militantes ou politiques ; notre réponse est évidemment NON. C’est alors que l’agent nous montre des photos de manifestations de soutien à la Palestine signées d’un de nos noms. A ce moment-là, nous comprenons que notre séjour va tourner court.

Bien que sachant pertinemment pourquoi nous sommes là, ils continuent leur jeu de déstabilisation dans le but de nous faire craquer et de pouvoir nous soutirer des informations sur la mission de solidarité et les contacts palestiniens. Nous restons de marbre face à l’arrogance et à l’attitude méprisante des soldats.

Nous ne sommes pas dupes et nous rendons vite compte que les tailleurs et costumes que porte le personnel de l’aéroport n’est qu’une façon de mieux dissimuler l’uniforme militaire qui est en dessous. Rappelons qu’Israël est le seul pays au monde qui n’est pas régi par une constitution mais par des règles de droit militaire. Nous sommes d’ailleurs contrôlés par des jeunes d’à peine dix-huit ans, réalisant leur service militaire obligatoire, qui après avoir fouillé de fond en comble nos bagages nous palpent au corps, jusqu’entre les orteils et derrière les oreilles. Même au mur des salles de fouille les plus retirées de l’aéroport, des publicités touristiques ventent les plages de Tel Aviv. En ce qui nous concerne, nous sommes confrontés à l’envers du décor dans lequel vivent quotidiennement les Palestiniens.

Une femme arborant un grand sourire vient nous stipuler que nous faisons l’objet d’un avis d’expulsion et que l’entrée sur le territoire nous est refusée. Motif : prévention contre l’immigration illégale et danger pour la sécurité et l’ordre public de l’Etat d’Israël. Après huit heures de détention et d’interrogations, il est clair que nous sommes considérés comme des terroristes. Comble de tout, on nous demande de signer un papier reconnaissant l’ordre d’expulsion pour motif de sécurité. Ce document n’a évidemment aucune valeur, il est remis à chaque voyageur renvoyé arbitrairement dans son pays. Ce n’est qu’une tromperie de plus dans cette grande mascarade raciste. Toutes les personnes à qui nous demandons des détails sur les motifs de notre expulsion nous répondent qu’ils n’en savent pas plus, qu’ils sont soi-disant désolés et qu’il s’agit d’une décision du Ministère de la Défense. Nous refusons donc de signer ce document. La pression psychologique qu’on nous a imposée pendant toutes ces heures vise clairement à intimider, décourager et dissuader les militants. C’est pourquoi nous encourageons toutes les personnes solidaires du peuple palestinien à continuer d’affronter l’arbitraire israélien pour tenter de se rendre en Palestine.

 

Sans titre.png

 

Après avoir scellé nos bagages avec des étiquettes « security », on nous fait monter dans un fourgon blindé sans fenêtres, comme des assassins, sans nos affaires, sans même pouvoir observer où on nous emmène. Au plafond, un SOS inscrit avec du sang a séché. A nos côtés, une jeune femme en pleurs connait le même sort que nous.

On pourra quand même poser le pied en Terre de Palestine, mais dans la cour du centre de rétention. Une prison qui arbore fièrement les drapeaux de l’Etat sioniste. Après nous avoir laissé prendre l’air dix minutes, ils mettent toutes nos affaires dans une consigne et nous enferment dans une cellule insalubre, dont les murs sont recouverts de messages dans toutes les langues. Nous arrivons, nous aussi, à graver quelques messages. Les camarades qui passeront derrière pourront lire : Résistance ! Tahia Falestine ! Boycott Israël !

A cinq heures du matin, on nous fait sortir brutalement. Des agents qui ressemblent à des skinheads nous font monter dans une fourgonnette qui nous dépose directement sur la piste d’atterrissage. Nos passeports sont remis au pilote et on nous ordonne de nous installer sur les sièges au fond de l’avion. Stupeur ! A l’arrivée à Bruxelles, c’est la police fédérale belge qui nous attend devant la porte de l’avion pour un dernier contrôle. Après les avoir interpellés quant à leur collaboration avec l’Etat sioniste, ils nous répondent que, quotidiennement, des citoyens européens vivent la même expérience que nous. Les « citoyens israéliens », quant à eux, sont accueillis à bras ouverts en Europe…

Pour couronner le tout, nous découvrons, après avoir récupéré nos passeports, qu’un cachet mentionnant le refus d’entrée sur le territoire israélien y a été apposé. Une façon de nous faire comprendre que nos noms sont sur liste noire et qu’il n’est pas la peine pour nous de retenter l’entrée.

 

Sans titre3.png

 

Nous n’étions pas dupes et connaissions déjà avant de partir les pratiques arbitraires et violentes de l’Etat d’Israël, mais sommes stupéfaits de l’impunité avec laquelle ils expulsent de simples voyageurs, citoyens français, qu’ils considèrent et traitent comme des « terroristes » simplement pour avoir un nom d’origine arabe et pour être du côté de la justice et du droit.

Jusqu’à quand les autorités françaises laisseront-elles leurs citoyens se faire humilier et expulser sans aucun motif légal ? Jusqu’à quand fermeront-elles les yeux sur les politiques racistes de cette entité militaire ? Depuis quand être solidaires d’un peuple sous occupation s’apparente à du terrorisme ? Comme le disait Desmon Tutu, militant sud-africain contre l’apartheid : « Etre neutre face à une situation d’injustice, c’est être du côté de l’oppresseur ». Le silence de la France face aux injustices perpétrées par Israël s’apparente à de la collaboration. Les centaines de citoyens français ayant connu le même sort que nous attendent que leur gouvernement réagisse et adopte des sanctions conséquentes contre l’entité sioniste israélienne.

Cette expérience n’a fait que renforcer notre détermination et notre engagement dans la lutte pour la justice et la solidarité avec le peuple palestinien. Nous remettrons les pieds sur une Terre libre du joug de l’occupant car la justice triomphe toujours et que la victoire est inéluctable : Palestine VIVRA ! Palestine VAINCRA !

 

 

 

 

 

Appel pour la liberté de circulation

de Salah Hamouri

 

Salah Hamouri, notre compatriote franco-palestinien, a cruellement effectué 7 ans de prison dans les geôles israéliennes sans le moindre acte concret répréhensible à lui reprocher. Il avait 20 ans quand il a été arrêté.

Un ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, pouvait écrire à son  sujet, le 31 mars 2011, « Je déplore que les autorités israéliennes n’aient pas pris de décision de remise de peine, d’autant que les aveux faits à l’audience n’ont été corroborés par aucun élément de preuve. »

Salah est sorti de prison le 18 décembre 2011. Il avait près de 27 ans. Il a alors entrepris courageusement de se reconstruire et de suivre à Ramallah des cours de Droit pour devenir avocat. Il doit passer son examen final en juillet prochain au terme de rudes études.

Salah Hamouri habite Jérusalem. De ce fait il est privé de nationalité – palestinienne ou israélienne –, en raison de l’annexion de la partie Est de la ville par Israël, ceci contre le droit international. De naissance franco-palestinien, il est, de ce fait, uniquement Français de jure.

Le 27 mars 2015, il a été convoqué par les forces armées israéliennes qui, par ordre militaire, l’ont interdit de circuler pendant 6 mois dans les Territoires palestiniens occupés au motif invraisemblable de « raisons de sécurité pour l’Etat et les citoyens d’Israël ». Ceci sans le moindre fait à lui reprocher. Rien. Un simple ordre militaire unilatéral et cynique : « Tu es une menace pour Israël et donc tu dois rester en Israël » ! C’est une attaque insupportable et une violation flagrante de la liberté de circulation et d’étudier telles qu’en dispose la Déclaration universelle des droits de l’Homme.

Ce faisant, les autorités israéliennes s’acharnent contre lui, contre un jeune qui refuse l’occupation. Elles veulent l’empêcher d’obtenir son diplôme d’avocat et l’empêcher de voir sa famille et ses amis. Elles veulent le casser.

Nous, soussignés, dans notre diversité d’engagements et de statuts, nous élevons une ferme condamnation contre cette décision arbitraire et absolument contraire au droit.

Nous demandons d’une même voix que les autorités françaises exigent des responsables israéliens la levée sans condition de cet ordre militaire cynique et d’aucune portée juridique. Nous demandons à être reçus au plus vite.

Nous demandons avec force que Salah Hamouri, déjà éprouvé par 7 années de prison injustement accomplies, puisse enfin vivre libre et heureux. La liberté ne se divise pas. Elle est de portée universelle ou elle n’est pas.

 

 

 

Premiers signataires :

 

Christiane Hessel ; Jean-Claude Lefort, député honoraire, coordinateur du Comité de  soutien à Salah Hamouri ; Laurence Abeille, députée ; Gilbert Achar, professeur universités Paris 8 et Londres ; Dominique Adenot, maire de Champigny, président de l’ANECR ; Eric Alauzet, député ; Marie-Hélène Amiable, maire de Bagneux, conseillère départementale ; Pouria Amirsahi, député ; Jean-Noël Aqua, conseiller de Paris ; François Asensi, député-maire de Tremblay-en-France, Eliane Assassi, sénatrice ; Nadia Azoug, conseillère régionale ; Denis Baille, maire de Thoard ; René Balme, maire honoraire de Grigny ; Pierre Barbancey, grand reporter ; Frédéric Barbier, député ; Caroline Bardot, conseillère régionale ; Marie-France Beaufils, maire de Saint-Pierre-des-Corps, sénatrice ;  Kaltoum Bemmansour, conseiller régional ; Maryse Bergé-Lavigne, sénatrice honoraire ; Henri Bertholet, ancien député ; Olivier Besancenot, NPA; Fatima Bezli, conseillère régionale ; Hélène Bidard, maire-adjointe de Paris ; Michel Billout, sénateur ; Marie-Christine Blandin, sénatrice ; Michèle Bizot-Gastaldi, maire de la Palud sur Verdon ; Patrick Boitet, journaliste ; Pascal Boniface, géopolitologue ; Patrick Bontemps, conseiller régional ; Nicolas Bornet-Ouladj, conseiller de Paris ; Jacques Bourgoin, maire honoraire de Gennevilliers ; Mustapha Boutadjine, plasticien ; Philippe Bouyssou, maire d’Ivry ; Messa Bouzidi, conseillère régionale ; José Bové, député européen ; Patrick Braouezec, ancien député-maire ; Rony Brauman, médecin, professeur Institut politique de Paris ; Xavier Breton, député ; Daniel Breuillet, maire d’Arcueil ; Jean-Pierre Bosino, sénateur ; Marc Bornek, conseiller régional ; Luc Bourduge, conseiller régional ; François Burgat, politologue ; Jean-Jacques Candelier, député ; Sylvia Capanema, conseillère départementale ; Jean-Michel Catala, avocat ; Monique Cerisier Ben-Guiga, sénatrice honoraire ; Christian Champiré, maire de Grenay ; André Chasssaigne, député ; René Charpy, ancien maire de Sainte-Tulle ; Monique Chemillier-Gendreau, professeur de droit international ; Laurence Cohen, conseillère régionale et sénatrice ; Antoine Comte, avocat ; Claudine Cordillot, ancienne maire de Villejuif ; Zubeyda Coskun, conseillère régionale ; Armand Creus, conseiller régional ; Yves Daniel, député ; Bezaz Daouïa, conseillère régionale ; Annie David, sénatrice ; Jean-François Debat, maire de Bourg-en-Bresse ; Karima Delli, députée européenne ; Michelle Demessine, ancienne ministre, sénatrice ; Stéphane Denoyelle, maire de Saint-Pierre d’Aurillac ; Valérie Depierre, conseillère régionale ; Chantal Dhoukar, conseillère régionale ; Françoise Diehlmann, conseillère régionale ; Marc Dolez, député ; Pierre-Nadir Doumandji, co-président CJPP5 ;  Eric Dubourgnoux, conseiller régional ; Michel Duffour, ancien ministre ; Eric Durand, conseiller régional ; Philippe Enclos, maître de conférences ; Jacqueline Fontaine, conseillère régionale ; Jean-Louis Fousseret, maire de Besançon ; Jacqueline Fraysse, députée ; Pascal Joly, secrétaire général de l’URIF-CGT ; Fanny Gaillaume, conseillère de Paris ; Laureen Genthon, conseillère départementale ; Jérôme Gleizes, conseiller de Paris ; Brigitte Gonthier-Maurin sénatrice; Sylvie Goy-Chavent, sénatrice ; Jean-Guy Greilsamer, co-président de l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP) ; Alain Gresh, journaliste ; Pierre Grosset, conseiller régional ; Didier Guillaume, maire de Choisy-le-Roi ; Paulette Guinchard, ancienne ministre et députée ; Marie Guite-Dufay, présidente de Conseil régional ; Djamila Haddad, conseillère régionale ; Eric Houlley, conseiller régional et maire de Lure ; Nordine Idir, secrétaire général de la JC ;  Salima Imezarene, conseillère régionale ; Patrick Jarry, maire de Nanterre ; Gisèle Jourda, sénatrice ; Alain Joxe, directeur d’études EHESS;  Jacques Kalifa, co-président CJPP5 ; Freddy Kazmarek, maire d'Auby ; Alain Krivine, ancien député européen ; Claude Lamblin, ancien maire de Reims ; Pierre Laurent, sénateur ; Brigitte Leblan, conseillère régionale ; Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers ; Patrick Le Hyaric, directeur de l’Humanité, député européen ; Myriam Lemercier, conseillère départementale ; Renée Le Mignot, co-présidente du MRAP ; Claude Léostic, présidente de la Plateforme des ONG pour la Palestine ; Gilles Leproust, maire d’Allones ; Dominique Lesparre, maire de Bezons ; Alain Lhostis, ancien conseiller de Paris ; François Liberti, conseiller départemental ; Docteur Isabelle Lorand, chirurgienne ; Hélène Luc, sénatrice honoraire ; Josiane Madelaine, conseillère régionale ; Pierre Mangin, conseiller régional ; Edouard Martin, député européen ; Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT ; Annick Mattighello, maire de Louvroil, conseillère régionale ; Yvette Mercier, conseillère régionale ; Agnès Mollon, conseillère régionale ; Corinne Morel-Darleux, conseillère régionale ; Edgar Morin, sociologue, philosophe; Véronique Mougey-Gloriod, conseillère régionale ; Jean-Louis Moynot, ancien Conseiller d’Etat ; Alain Néri, sénateur ; Loïc Niepceron, conseiller régional ; Didier Paillard, maire de Saint-Denis ; Jean-Jacques Paris, secrétaire général ANECR ; Catherine Piecuch, secrétaire régionale de la FSU Nord-Pas de Calais ; Ghislain Poissonnier, magistrat ; Raphaëlle Primet, conseillère de Paris ;  Dominique Raimbourg, député ; Bernard Ravenel, président d’honneur AFPS ; Daniel Reiner, sénateur ; Anissa Righi, avocate ; François Rochebloine, député ; Gilbert Roger, sénateur ; Barbara Romagnan, députée ; Sandrine Rousseau, conseillère régionale ; Pierre Saly, vice-président CJPP5 ; Lydia Samarbakhh, responsable relations internationales ; Madjouline Sbaï, conseillère régionale ; Pascale Semet, conseillère régionale ; Denis Sommer, conseiller régional et maire de Grand-Chamont ; Pierre Stambul, coprésident de l’UJFP ; Taoufiq Tahani, président de l’Association France Palestine solidarité (AFPS) ; Pierre Tartakowski, président de la Ligue des Droits de l’Homme ; Catherine Tasca, ancienne ministre, sénatrice ; Jean-François Téaldi, journaliste audiovisuel public ; Eric Thouzeau, conseiller régional;  Patrick Tillies, avocat, conseiller régional ; Evelyne Valentin, conseillère régionale ; Marie-Christine Vergiat, députée européenne ; Dominique Vidal, collaborateur du Monde diplomatique, écrivain;  Michel Villaumé, député ; Daniel Voguet, avocat ; Denis Vuillermoz, conseiller régional ; Eric Dominique Watrin, sénateur ; Guillaume Weill-Raynal, essayiste ; Francis Wurtz, député européen honoraire.

Et aussi : Lyziane Alezard, conseillère municipale d’Issy-les-Moulineaux ; Isabelle d’Almendia, présidente CN-PCF ; Elsa Bardeaux, maire-adjointe de Villeneuve-Saint-Georges ; Dominique Ben, responsable départemental CGT ; Frédéric Bernabé, conseiller municipal de Vesoul ; Habiba Bigdade, maire-adjointe de Nanterre ; Thibaut Bize, conseiller municpal de Besançon ; Rudolf Bkouche, UJFP ; Nicolas Bodin, conseiller municipal de Besançon ; Saïd Bouamama, socio-économiste ; Zahra Boudjemai, maire-adjointe ; Christine Bourcet, conseillère municipale de Nanterre ; Emilie Briot, conseillère municipale de Besançon ; Philippe Caro, conseiller délégué de Saint-Denis ;  Mathilde Caroly, conseillère municipale Saint-Denis ; Jean-Christophe Cervantes, conseiller municipal de Clermont-Ferrand ; Cyril Cineux, maire-adjoint de Clermont-Ferrand ;  Alparsian Coskun, conseiller municipal de Clermont-Ferrand ; Didier Costenoble, secrétaire de la FSU Nord ; Magali Gallais, conseillère déléguée ; Marie-Claude Garel, conseillère municipale de Nanterre ; Abdel Ghezali, adjoint au maire de Besançon ; Fodhil Hamoudi, maire-adjoint de Saint-Denis ; Delphine Helle, conseillère déléguée de Saint-Denis ; Gwenn Herbin, conseillère municipale de Nanterre ; Hassan Hmani, maire-adjoint de Nanterre; Solange Joly, maire-adjointe de Besançon ; Cyril Keller, secrétaire général UD CGT du Doubs ; Alain Laffont, conseiller municipal de Clermont-Ferrand ; Christian Lime, maire-adjoint de Besançon ; Nadège Magnon, maire-adjointe de Nanterre ; Marianne Maximi, conseillère municipale de Clermont-Ferrand ; Ambroise Mazal, conseiller délégué Digne-les-Bains ; Elsa Maillot, conseillère municipale de Besançon ; Madjid Messaoudene, conseiller délégué de Saint-Denis ; Pierre Miquel, conseiller municipal de Clermont-Ferrand ; Rossana Morain maire-adjointe Nanterre ; Jean-Louis Morel, secrétaire UD CGT de Haute-Saône ; Thierry Morton, adjoint au maire de Besançon ; Florent Naranjo, conseiller municipal de Clermont-Ferrand ; Thérèse Ngimbous Badjom, maire-adjointe de Nanterre ; Danièle Poissenot, adjointe au maire de Besançon ; Anthony Poulin, adjoint au maire de Besançon ; Françoise Presse, conseillère municipale de Besançon ; Nicole Prieux, conseillère municipale déléguée ; Alain Quiot, conseiller municipal Cormeilles-en-Parisis ; Alain Rimbault, maire-adjoint de Nanterre ; Nesrine Rezzag Barag, conseiller municipal de Nanterre ; Muriel Saignol, conseillère municipale d’Argelès-sur-Mer ; Marc Séverac, adjoint au maire d’Argelès-sur-Mer ; Rémy Sthal, conseiller municipal de Besançon ; Sylviane Tardieu, conseillère municipale déléguée ; Jean-Claude Touzelet, maire-adjoint de Saint-Hilaire-de-Court ; Marie Zehaf, adjointe au maire de Besançon.

 

 

 

 

 

 

Les liaisons dangereuses d’Orange et de son actionnaire l’État français dans les colonies israéliennes

Par AFPS

Mercredi 6 mai 2015

 

Des organisations de la société civile dénoncent la relation d’affaires du groupe Orange avec l’entreprise Partner, active dans les colonies israéliennes situées dans le Territoire palestinien occupé, et la participation de l’État français, actionnaire d’Orange.

Communiqué de CCFD-Terre Solidaire, FIDH (Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme), Al Haq, Association France Palestine Solidarité, Confédération Générale du Travail (CGT), Ligue des droits de l’Homme (LDH) et Union Syndicale Solidaires, mercredi 6 mai 2015

Après de multiples démarches infructueuses pour entamer un dialogue avec l’entreprise Orange [1], cinq organisations non-gouvernementales et deux syndicats [2] publient aujourd’hui un rapport qui démontre que par sa relation d’affaires avec la société israélienne de télécommunications Partner, Orange participe indirectement au maintien et au renforcement des colonies israéliennes situées dans le Territoire palestinien occupé, pourtant considérées illégales par la communauté internationale.

En effet, dans ces colonies, Partner fait construire des infrastructures sur des terres palestiniennes confisquées et offre des services aux colons et à l’armée israélienne. L’entreprise tire par ailleurs profit des limitations imposées à l’économie palestinienne par les autorités israéliennes, et contribue ainsi à l’asphyxie de celle-ci.

Des organisations de la société civile se mobilisent et interpellent Orange depuis plusieurs années au sujet de son contrat avec Partner qui permet à l’entreprise d’utiliser la marque Orange. Crucial pour la stratégie marketing de Partner, ce contrat de licence de marque a même été renouvelé en 2011, et inclut maintenant le paiement d’une redevance à Orange, qui tire donc profit de cette relation. Un amendement au contrat en 2015 prévoit la hausse de cette redevance à partir de 2019. Au regard de sa responsabilité de respecter les droits humains et conformément aux Principes directeurs de l’OCDE et des Nations Unies ainsi qu’en vertu de la charte de déontologie du Groupe, les auteurs du rapport estiment qu’Orange doit mettre un terme à sa relation d’affaires avec Partner.

En dépit des interpellations répétées à l’endroit d’Orange, les organisations auteures regrettent que ni l’entreprise, ni les autorités françaises n’aient jusqu’à ce jour pas, à leur connaissance, pris les mesures qui s’imposent.

En tant que principal actionnaire minoritaire du groupe Orange (25.05% du capital) et au regard de ses obligations internationales en matière de droits humains, le gouvernement français doit prendre toutes les mesures nécessaires pour veiller à ce qu’Orange reconsidère sa relation d’affaires avec Partner et mette fin à toutes activités l’impliquant dans des violations des droits humains et du droit international. Jusqu’à présent, les autorités françaises permettent indirectement à l’entreprise de tirer profit d’actes israéliens internationalement illégaux qui sous-tendent la mise en place et le maintien des colonies dans le Territoire palestinien occupé. Cela est contraire non seulement aux engagements politiques pris par la France concernant le statut illégal des colonies, mais aussi aux condamnations accablantes de ces actes par les institutions de l’UE et plus largement par la communauté internationale.

Cette situation est d’autant plus paradoxale que la France, tout comme l’Union européenne et d’autres gouvernements européens, a d’ailleurs rappelé à plusieurs reprises que les colonies israéliennes étaient illégales au regard du droit international et constituaient un obstacle à la paix. Le gouvernement français a adressé un avis mettant en garde les entreprises françaises contre les risques juridiques et économiques associés aux activités et transactions menées dans les colonies israéliennes. Conformément à cette déclaration, les pouvoirs publics seraient récemment intervenus auprès de la société Safege, une entreprise impliquée dans les études préparatoires pour le téléphérique de Jérusalem Est, qui a depuis annoncé son retrait du projet. Nous attendons des autorités françaises qu’elles interviennent également auprès et au sein d’Orange.

Le rapport s’inscrit dans la campagne « Made in Illegality », qui appelle les gouvernements européens à mettre un terme aux relations économiques avec les colonies israéliennes, afin d’exhorter le gouvernement israélien à la fin de la colonisation et établir les bases pour une paix durable dans la région.

 

>>Télécharger le rapport

>>Télécharger ce communiqué de presse en pdf

 

[1] Le 28 avril, Orange a pris contact avec les auteurs de ce rapport pour proposer une rencontre. La dernière demande de rendez-vous des auteurs date du 20 février 2015.

[2] Les organisations auteures du rapport sont : CCFD-Terre Solidaire, FIDH (Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme), Al Haq, Association France Palestine Solidarité, Confédération Générale du Travail (CGT), Ligue des droits de l’Homme (LDH), Union Syndicale Solidaires

 

 

 

 

 

Désinvestissement Veolia

compte rendu de la rencontre

du 27 avril 2015 à la MEL

Par Jean-François Larosière

 

Une délégation du collectif-eau de la métropole lilloise, conduite par Pierre-Yves Pira, dans laquelle figurait Jean-François Larosière, Président de l’AFPS Nord-Pas de Calais a rencontré le Vice-Président de la Communauté Européenne de Lille chargé de la politique de l’eau, Alain Detournay, lundi 27 avril 2015. Une délégation semblable avait rencontré Eric Bocquet le vendredi 17 avril, avant le choix des conseillers communautaires de Veolia de dans le cadre d’une délégation de service public concernant la distribution de l’eau.

 

Le collectif-eau avait fait part de sa volonté appuyée par des milliers de signatures (5000) de la mise en place d’un service public de l’eau à Lille. Après le vote communautaire, il s’agissait de connaître les éléments concernant l’avenir, après le choix de Veolia, comme de connaître aussi ce qui avait conduit à retenir la firme coloniale.

 

Le Vice-Président était accompagné des responsables du dossier eau au niveau de la communauté. Les différents éléments techniques présentés indiquent que Véolia a fait un effort particulier pour son offre (jusqu’à des mesures « sociales ») qui n’est cependant pas d’une supériorité écrasante sur la régie publique de l’eau. L’écart entre les deux propositions telles qu’elles ont été présentées au Conseil de Développement de la communauté est de 2,24%.

 

L’AFPS Nord-Pas de Calais a terminé l’exposé des questions et objections présentées par la délégation du collectif-eau. Jean-François Larosière a indiqué :

1 Effectivement l’écart entre la proposition de régie publique et la proposition Veolia n’est pas considérable

2 Elle l’est d’autant moins que Veolia possède, en tant que multinationale de moyens considérable afin de fournir une offre attractive sur une métropole de plus d’un million d’habitants, dans le cadre nouveau de la décentralisation en cours dans le pays.

3 L’enjeu du marché de la métropole européenne dépasse, et de loin, le seul territoire lillois. Il se jouait, non seulement  l’échelle de la grande région, mais aussi dans le cadre national et international.

4 Le succès sur l’eau pour Veolia était d’autant plus important qu’il intervenait après les échecs régionaux sur le réseau Arc en ciel et sur Transpole en 2010 qui ont pesé dans le bilan de la multinationale.

5 La participation de Veolia à la colonisation israélienne de la Palestine a été rappelée et explique notre opposition absolue à ce choix.

 

La réponse des représentants de la communauté européenne fut d’indiquer qu’il n’était pas possible d’exclure Veolia du marché sur des critères moraux ou politiques.

 

 

 

 

 

 

AGENDA  (http://www.nord-palestine.org/agenda.htm)

 

Vendredi 15 mai, à 19 h30, sur Pastelfm Pastel (99.4 Lille Métropole) et sur Radio rencontre (93.3 Dunkerque) :

Émission Bayene avec Xavier Dubois de l' AFPS 59/62 de retour de mission en Palestine

Samedi 16 et dimanche 17 mai, au Parc de la Glissoire à Avion:

Fête de l’Humain d’abord avec stand AFPS 59/62 >>

Organisée par le PCF 

Samedi 23 mai, à 14h30 à la MRES de Lille:

Réunion de préparation du congrès de l’AFPS

Mercredi 27 mai, à 19h, salle Ceremonia, 5 rue de Courtrai à Roubaix :

Conférence-Débat « Etre ou ne pas être Charlie » avec M.Collon et S.Bouamama >>

Organisée par le FUIQP avec stand AFPS 59/62

Samedi 30 et dimanche 31 mai, à Saint-Denis:

Congrès ordinaire de l’AFPS

Lundi 1er juin, à 18h, Centre spirituel du Hautmont, 31 rue Mirabeau à Mouvaux:

Conférence-Débat « Palestine en danger »

avec Jehad Abdel, président de l'association palestinienne ADEL spécialisée dans l'agriculture équitable >>

Organisée par le Secours Catholique de Lille

Jeudi 11 juin, à 18h, Salle des Conseils de l'Hôtel de Ville d'Auby :

Rencontre de soutien aux prisonniers palestiniens

Film "Palestine la case prison" + échange sur le parrainage des prisonniers

Vendredi 12 juin :

Témoignage « Retour de mission en Palestine »

Samedi 13 juin, à 14h, salle Terrasse à la MRES de Lille:

Assemblée Générale de l’AFPS 59/62

Samedi 20 juin, à 10h30, à la MRES de Lille:

Réunion du Conseil de l’AFPS 59/62

 

 

 

Venez renforcer l’AFPS Nord-Pas de Calais :

Bulletin d’adhésion pour l’année 2015 à imprimer :

http://www.nord-palestine.org/COTISATION2015.pdf


 

 

 

Si vous ne souhaitez plus recevoir ces « Messages Palestine » cliquez ici et envoyer

 

 

Retour